
Séance – Violences sexuelles : les lois inutiles affaiblissent les nécessaires
La macronie ne traite les violences sexuelles que par l’inflation pénale et ne met pas les moyens pour la prévention
La macronie ne traite les violences sexuelles que par l’inflation pénale et ne met pas les moyens pour la prévention
Pour que le consentement devienne la norme, il doit être défini pénalement comme un élément constitutif des infractions.
La mission d’information parlementaire a mis en lumière le manque criant de moyens pour lutter contre les violences sexuelles à l’école.
Les enfants sont les principales victimes de violences sexuelles. La tardive proposition de loi LReM pour lutter contre ces violences reste a minima.
#MeTooInceste, #Iwas, #IwasCorsica témoignent du caractère systémique des violences sexuelles sur les enfants et des défaillances institutionnelles à les combattre.
Les enfants sont les premières victimes des violences sexuelles. Pour les protéger, au-delà des clarifications nécessaires du code pénal, il faut agir en amont :
Face à une exploitation sociale, sexiste, raciste et anti-écologiste, les femmes de chambre de l’hôtel Ibis Batignolles (Paris 17e) ont choisi la lutte.
Question au gouvernement de Danièle Obono, mardi 3 mars 2020, sur les violences sexuelles et sexistes
La présomption simple de non consentement est un outil juridique pour lutter contre la pédo-criminalité et aider à rendre justice aux victimes. Par Danièle Obono.